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Monday, November 24, 2014

DEBUSSY

Speranza

 Pour la pièce de théâtre écrite par Maurice Maeterlinck, voir Pelléas et Mélisande.


L'opéra Pelléas et Mélisande peint par Edmund Blair Leighton (1853-1922)


Le billet de banque 20 francs Debussy montre au verso le portrait de Debussy tandis que le dessin d'arrière-plan représente le décor de la scène intitulée

"La Fontaine dans un parc"

signé Lucien Jusseaume et Eugène Ronsin utilisé lors de la représentation de Pelléas et Mélisande en avril 1902 à l'Opéra comique[1].
 
 
Pelléas et Mélisande est un opéra en cinq actes (19 tableaux) de Claude Debussy, considéré par le compositeur comme un « drame lyrique ».
 
Le livret est de Maurice Maeterlinck, d'après sa pièce de théâtre homonyme.
 
La première eut lieu le 30 avril 1902[2] à l'Opéra-Comique à Paris sous la direction d'André Messager[2].
L'opéra, comme la pièce de Maeterlinck, est une transposition du mythe de Tristan et Yseult.

Deux jeunes gens sont irrésistiblement amoureux.
 
Leur amour est interdit par la présence d'un mari âgé et violemment jaloux et ne peut s'accomplir que dans la mort.
 
Debussy a déclaré :
 
« J'ai voulu que l'action ne s'arrêtât jamais, qu'elle fût continue, ininterrompue.
 
La mélodie est anti-lyrique.
 
Elle est impuissante à traduire la mobilité des âmes et de la vie.
 
Je n'ai jamais consenti à ce que ma musique brusquât ou retardât, par suite d'exigences techniques, le mouvement des sentiments et des passions de mes personnages.
 
Elle s'efface dès qu'il convient qu'elle leur laisse l'entière liberté de leurs gestes, de leurs cris, de leur joie ou de leur douleur. »
 

Personnages

Mélisande (soprano)
  • Geneviève, mère de Golaud et Pelléas (contralto)
  • Arkel, roi d'Allemonde (basse)
  • Pelléas, petit-fils d'Arkel (ténor ou baryton Martin)
  • Golaud, demi frère de Pelléas (baryton)
  • Yniold, fils de Golaud, issu d'un premier mariage (soprano)
  • Un médecin (basse)
  • Un berger (basse)
C’est le choix de la cantatrice écossaise Mary Garden (1877-1967), souhaitée par Debussy et soutenue par le directeur de l’Opéra-Comique, Albert Carré (1852-1938), qui brouilla définitivement le musicien avec Maeterlinck qui voulait imposer sa maîtresse, Georgette Leblanc, lors de la création de l’opéra.

Orchestre[modifier | modifier le code]

Instrumentation de Pelléas et Mélisande
Bois
3 flûtes (la 3e joue aussi la petite flûte), 2 hautbois, 1 cor anglais,
2 clarinettes,
3 bassons
Cuivres
4 Cors en Fa, 3 Trompettes en Fa,
3 trombones,
1 tuba
Percussions
3 timbales, cymbales, triangle, glockenspiel, cloche en Sol
Cordes
2 harpes, premiers violons, seconds violons, altos, violoncelles, contrebasses

Premier acte

Scène 1 : Une forêt
Je ne pourrai plus sortir de cette forêt…
Dieu sait jusqu'où cette bête m'a mené… (Golaud - Mélisande)
  • Pourquoi pleures-tu ? (Golaud - Mélisande)
  • Qu'est-ce qui brille… (Golaud - Mélisande)
  • Oh ! vous avez déjà des cheveux gris… (Mélisande - Golaud)
Golaud rencontre dans une forêt Mélisande en pleurs.

Melisanda est très timide et paraît triste mais ne trahit toutefois pas la raison de son comportement. Golaud l'emmène avec lui.

Scène 2 :

Un appartement dans le château
Voici ce qu'il écrit à son frère Pelléas (Geneviève)
Je n'en dis rien (Arkel - Geneviève)
Il avait toujours suivi mes conseils… (Arkel)
  • Grand-père… (Pelléas - Geneviève - Arkel)
Dans le château, Golaud écrit une lettre à son demi-frère Pelléas.

Celui-ci doit introduire une recommandation au roi Arkel afin que Golaud puisse rentrer après six semaines de voyage par mer avec sa deuxième femme Melisanda.

La lettre est apportée à Arkel par Geneviève.

Pelleas veut quitter le château à cause d'un ami qui est sur le point de mourir.

Arkel avait destiné à l'origine une autre femme comme épouse pour Golaud mais soutient toutefois son nouveau choix et son retour.

Scène 3 : Devant le château
  • Il fait sombre dans les jardins (Mélisande - Geneviève - Pelléas)
  • Il est temps de rentrer… (Geneviève - Mélisande - Pelléas)
  • Ne fais pas de bruit… (Golaud - Yniold)
Pelleas doit toutefois rester.

Geneviève familiarise Melisanda avec son nouvel environnement.

Mélisande craint l'obscurité du château et de sa forêt proche.

Des voix sont entendues qui proviennent d'un navire en partance.

Pelleas et Melisanda se rencontrent.


Mary Garden en Mélisande, le 4 d'avril 1908. Scène 1 acte III : Mélisande lissant sa longue chevelure et se penchant à une fenêtre de la tour tout en chantant.

Deuxième acte

Scène 1 : Une fontaine dans le parc

Pelléas conduit Melisanda à la fontaine des aveugles dont l'eau permet de retrouver la vue.

Mélisande laisse tomber la bague de Golaud dans le puits.

À la même seconde, Golaud, dans un autre lieu, tombe de cheval et se blesse.

Interlude I, pour orchestra

Scène 2 : Un appartement dans le château
  • Ah ! ah ! tout va bien… (Golaud)
  • Voulez-vous un peu d'eau… (Mélisande - Golaud)
  • Voyons; sois raisonnable, Mélisande. Que veux-tu que je fasse ?… (Golaud - Mélisande)
  • Tiens, où est l'anneau… (Golaud - Mélisande)
Il remarque que la bague n'est plus là, Mélisande prétend l'avoir perdue dans une grotte.

Golaud l'envoie la chercher et ordonne à Pelléas d'aller avec elle.

Scène 3 : Devant une grotte
  • Oui, c'est ici (Pelléas - Mélisande)
  • Vous ne savez pas… (Pelléas - Mélisande)
Pelléas et Mélisande se heurtent dans la sombre grotte à trois misérables formes, sont confrontés à la maladie et à la famine et s'enfuient.

Interlude II, pour orchestre

Troisième acte[modifier | modifier le code]



Une autre photo de Mélisande à la fenêtre (Mary Garden, 4 avril 1908)
Scène 1 : Une des tours du château. Un chemin de ronde passe sous les fenêtres de la tour
  • Mes longs cheveux… (Mélisande)
  • Holà ! Holà ! ho… (Pelléas - Mélisande)
  • Il fait beau cette nuit… (Mélisande-Pelléas)
  • Je me penche… (Mélisande - Pelléas)
  • Je ne te donne pas ma main… (Mélisande - Pelléas)
  • Je vois une rose… (Mélisande - Pelléas)
  • Je les tiens dans mes mains… (Pelléas - Mélisande)
  • Je les noue aux branches du saule (Pelléas - Mélisande)
  • Que faites vous ici ? (Golaud)
Mélisande est à la fenêtre et peigne ses cheveux denoués.

Pelléas vient au pied de la tour, s'extasie devant la longue chevelure de Mélisande, s'enroule dedans.

Les cheveux de Mélisande s'emmêlent aux branches.

Golaud arrive, et surprend la scène. « Vous êtes des enfants » dit-il.

Scène 2 : Les souterrains du château
  • Prenez garde… (Golaud - Pelléas)
Golaud a entraîné Pelléas dans les souterrains du château.
Scène 3 : Une terrasse au sortir du château
  • Ah ! je respire enfin… (Pelléas)
  • Oui elles se sont réfugiées (Golaud)
En remontant à la surface, Golaud ordonne à Pelléas d'éviter Mélisande.

Interlude III, pour orchestre
Scène 4 : Devant le château, sous la fenêtre de Mélisande
  • Viens, nous allons nous asseoir ici (Golaud - Yniold)
  • Pelléas et petite-mère… (Golaud - Yniold)
Sous les fenêtres de Mélisande, Golaud interroge son fils d'un premier mariage, Yniold :

« Pelléas et Mélisande sont-ils souvent ensemble ? De quoi parlent-ils ? S'embrassent-ils ? ».

Golaud hisse son fils jusqu'à la fenêtre de la chambre où se trouvent Pelléas et Mélisande et lui demande ce qu'ils font (ils sont immobiles et silencieux et regardent la lumière).

Yniold s'effraie. Golaud l'entraîne.

Quatrième acte[modifier | modifier le code]

Scène 1 : Un appartement dans le château
  • Où vas-tu ?… (Pelléas - Mélisande)
Pelléas, qui va quitter le château, donne pour le soir à Mélisande un dernier rendez-vous dans le parc, près de la fontaine.
Scène 2 : Un appartement dans le château
  • Maintenant que le père de Pelléas est sauvé (Arkel)
  • As-tu peur de mes vieilles lèvres… (Arkel - Mélisande - Golaud)
  • Une grande innocence… (Golaud)
  • Ne mettez pas votre main à la gorge (Golaud - Arkel - Mélisande)
  • Si j'étais Dieu j'aurais pitié du cœur des hommes (Arkel)
Arkel, à qui Mélisande vient rendre visite, exprime à la jeune femme son affection et sa pitié.

Golaud survient, blessé au front, et refuse que sa femme le soigne.

Il lui réclame son épée, la traîne par les cheveux et la jette à terre.
Interlude IV, pour orchestre
Scène 3 : Une fontaine dans le parc
  • Oh ! cette pierre est lourde (Yniold - Le Berger)
Yniold essaye de récupérer sa balle d'or coincée dans un rocher et observe un troupeau de moutons.
Scène 4 : le même lieu
  • C'est le dernier soir… (Pelléas - Mélisande)
  • Nous sommes venus ici… (Mélisande - Pelléas)
  • Tu ne sais pas pourquoi… (Pelléas - Mélisande)
  • Où es-tu ?… (Pelléas - Mélisande)
  • Quel est ce bruit ?… (Pelléas - Mélisande)
  • Écoute ! (Pelléas - Mélisande)
  • Oh ! oh ! Je n'ai pas de courage ! (Mélisande)
Pelléas entre, suivi de Mélisande.

C'est le dernier soir.

Pelléas et Mélisande échangent un baiser en s'avouant leur amour.

On ferme les portes du château : ils se retrouvent empêchés d'entrer.

 Golaud surgit par derrière un arbre, et frappe Pelléas à mort qui tombe près de la fontaine, tandis que Mélisande s'enfuit.

Cinquième acte[modifier | modifier le code]

Scène unique : Une chambre dans le château
  • Ce n'est pas de cette petite blessure (Le Médecin - Arkel - Golaud - Mélisande)
  • Comment te trouves-tu ? (Arkel - Mélisande - Golaud)
  • Mélisande, as-tu pitié de moi ? (Golaud - Mélisande)
  • Où es-tu ? Mélisande ! (Golaud - Arkel - Mélisande)
  • Qu'y a-t-il ? (Golaud - Le Médecin - Arkel)
  • Qu'y a-t-il ? (Le Médecin - Arkel)
Golaud a blessé légèrement Mélisande.

Elle a mis au monde une petite fille.

Elle a déliré plusieurs jours durant et est mourante à présent.

Golaud lui demande pardon et tente, en vain, de lui faire avouer qu'elle fut coupable.

Mélisande meurt doucement, en silence.

Première et réception

Depuis le soir de mai 1893 où Debussy a assisté à la représentation de la pièce, il s'est écoulé presque dix ans.

La générale, le 28 avril 1902, qui se déroule en public et salle pleine, donne lieu à réactions et controverses: des rires, des « conversations fiévreuses » — mais nulle présence ou intervention de la police comme on a pu le lire (p. 289-313).

Le musicologue Denis Herlin cite entre autres l'agenda d’Henri Busser :

« Peu de protestations. [...] Debussy est dans le cabinet de Messager où il reçoit visites et félicitations. ».

Et dans le journal de Busser, où ce dernier est plus nuancé :

« Debussy s’est réfugié dans le bureau de Messager et fume nerveusement cigarette sur cigarette. Conseil de guerre avec Albert Carré et Messager.

Nous sommes atterrés de l’accueil fait particulièrement au troisième acte.

On a ri quand Mélisande dit : “Je ne suis pas heureuse ici”, après la scène où Golaud la traîne par les cheveux[3]. »

Dès le lendemain de cette générale — donc la veille de la première —, la censure fait couper des parties de la scène 4 de l'acte 3.

Henri Busser écrit dans son journal à propos de la première :

« Le première représentation reçoit du public un meilleur accueil : trois et quatre rappels par acte. La scène du petit Yniold soulève encore quelques murmures, vite apaisés.

Salle enthousiaste pour les deux derniers actes. »

Cette incompréhension n'empêche pas le succès :

« Pélléastres » et « contrapuntistes » s'affrontent. Debussy déclare :

« Je ne crois plus à l'omnipotence de votre sempiternel do, ré, mi, fa, sol, la, si, do. Il ne faut pas l'exclure mais lui donner de la compagnie depuis la gamme à six tons jusqu'à la gamme à vingt et un degrés… Avec les vingt-quatre demi-tons contenus dans l'octave, on a toujours à sa disposition des accords ambigus qui appartiennent à trente-six tons à la fois. »

Vincent d’Indy salue et défend Pelléas dans son article de juin 1902 dans la revue L’Occident : « Quoi qu’il en soit, à quelque genre qu’on veuille ou ne veuille pas rattacher Pelléas et Mélisande, que résulte-t-il de l’audition pour tout esprit débarrassé du parti pris ?..., la sensation d’une très belle œuvre d’art que l’on peut ne pas comprendre tout d’abord, – c’est le cas, je l’ai expliqué, de la plupart de critiques professionnels et aussi de bon nombre de musiciens, – mais qui n’en éveille pas moins dans l’âme ce frémissement, constatation de beauté, que connaissent bien ceux dont l’enthousiasme artistique n’est point atrophié, et aussi le désir de réentendre, sûr garant de la valeur d’une œuvre[4]. »

Interprétations célèbres[modifier | modifier le code]

Discographie et filmographie[modifier | modifier le code]

Les versions de Pelléas et Mélisande disponibles sur support CD sont les suivantes :
DirectionDateEn studio ou sur le vifPelléasMélisandeGolaudArkelYnioldGenevièveÉditeur
Roger Désormière1941StudioJacques JansenIrène JoachimHenri EtcheverryPaul CabanelLeila Ben SediraGermaine CernayEMI
Emil Cooper1945Sur le vif au Met, NYCMartial SingherBidú SayãoLawrence TibbettAlexander KipnisLilian RaimondiMargaret Harshaw
Désiré-Emile Inghelbrecht1951Sur le vif à la BBC, LondresCamille MauraneSuzanne DancoHenri EtcheverryAndré VessièresMarjorie WestburyOda SlobodskayaTestament
Ernest Ansermet1952StudioPierre MolletSuzanne DancoHeinz RehfußAndré VessièresFlore WendHélène BouvierDecca
Désiré-Emile Inghelbrecht1952Sur le vif au TCE, ParisCamille MauraneSuzanne DancoMaurice de GrooteAndré VessièresMarjorie WestburyChristiane GayraudINA
Jean Fournet1953StudioCamille MauraneJanine MicheauMichel RouxXavier DeprazAnnick SimonRita GorrPhilips
Herbert von Karajan1954Sur le vif à la RAI de RomeErnst HaefligerElisabeth SchwarzkopfMichel RouxMario PetriGraziella SciuttiChristiane Gayraud
André Cluytens1955Sur le vif à la Radio bavaroisePierre MolletJanine MicheauHenri EtcheverryPierre FroumentyJeanne RolandAgnès Disney
André Cluytens1956StudioJacques JansenVictoria de los ÁngelesGérard SouzayPierre FroumentyFrançoise OgéasJeannine CollardEMI
Jean Morel1960Sur le vif au Met, NYCTheodor UppmanVictoria de los ÁngelesGeorge LondonGiorgio TozziMildred AllenRegina Resnik
Désiré-Emile Inghelbrecht1962Sur le vif au TCE, ParisJacques JansenMicheline GrancherMichel RouxAndré VessièresFrançoise OgéasSolange MichelNaive
Jean Fournet1962Sur le vif au Teatro Colón, Buenos AiresPierre MolletVictoria de los ÁngelesJulien HaasJoseph RouleauOlga ChelavineSolange Michel
Désiré-Emile Inghelbrecht1963Sur le vif au TCE, ParisCamille MauraneMicheline GrancherJacques MarsAndré VessièresFrançoise OgéasMarie Luce BellaryBarclay (33t)
Vittorio Gui1963Sur le vif au Festival de GlyndebourneHans WilbrinkDenise DuvalMichel RouxGuus HoekmanRosine BrédyAnna ReynoldsGlyndebourne
Ernest Ansermet1964StudioCamille MauraneErna SpoorenbergGeorge LondonGuus HoekmanRosine BrédyJosephine VeaseyDecca
Lorin Maazel1969Sur le vif à la RAI de RomeHenri GuiJeannette PilouGabriel BacquierNicola ZaccariaAdriana MartinoAnna Reynolds
Jean-Marie Auberson1969Sur le vif au Grand Théâtre de GenèveEric TappyErna SpoorenbergGérard SouzayVictor de NarkéAnne-Marie BlanzatArlette ChédelClaves
Pierre Boulez1970StudioGeorge ShirleyElisabeth SöderströmDonald McIntyreDavid WardAnthony BrittenYvonne MintonSony
Rafael Kubelik1971Sur le vif à la Radio bavaroiseNicolai GeddaHelen DonathDietrich Fischer-DieskauPeter MevenWalter GampertMarga SchimlOrfeo
Herbert von Karajan1978StudioRichard StilwellFrederica von StadeJosé van DamRuggero RaimondiChristine BarbauxNadine DenizeEMI
Serge Baudo1978StudioClaude DormoyMichèle CommandGabriel BacquierRoger SoyerMonique Pouradier-DuteilJocelyne TaillonRCA
Armin Jordan1979StudioEric TappyRachel YakarPhilippe HuttenlocherFrançois LoupColette Alliot-LugazJocelyne TaillonErato
Mark Elder1981Sur le vif au London ColiseumRobert DeanEilene HannanNeil HowlettJohn TomlinsonRosanne BrackenridgeSarah WalkerChandos
Claudio Abbado1986Sur le vif à La Scala, MilanKurt OllmannFrederica von StadeJohn BröchelerNicolai GhiaurovPatrizia PaceGlenys Linos
John Carewe1988StudioMalcolm WalkerEliane ManchetVincent Le TexierPeter MevenChristian FliegnerCarol YahrPierre Verany
Charles Dutoit1990StudioDidier HenryColette Alliot-LugazGilles CachemaillePierre ThauFrançoise GolfierClaudine CarlsonDecca
Claudio Abbado1991StudioFrançois Le RouxMaria EwingJosé van DamJean-Philippe CourtisPatrizia PaceChrista LudwigDGG
Jean-Claude Casadesus1996Sur le vif à l'Opéra de LilleGérard ThéruelMireille DelunschArmand ArapianGabriel BacquierFrançoise GolfierHélène JossoudNaxos
Bernard Haitink2000Sur le vif au TCE, ParisWolfgang HolzmairAnne Sofie von OtterLaurent NaouriAlain VernhesFlorence CoudercHanna SchaerNaive

DVD[modifier | modifier le code]

- Direction musicale -- Direction de la mise en scène -DatePelléasMélisandeGolaudArkelYnioldGeneviève
John Eliot Gardiner
Pierre Strosser
1987
François le Roux
Colette Alliot-Lugaz
José van Dam
Roger Soyer
Françoise Golfier
Jocelyne Taillon
Pierre Boulez
Peter Stein
1992
Neill Archer
Alison Hagley
Donald Maxwell
Kenneth Cox
Samuel Burkey
Penelope Walker
Andrew Davis
Graham Vick
1999
Richard Croft
Christiane Oelze
John Tomlinson
Gwynne Howell
Jake Arditti
Jean Rigby
Franz Welser-Möst
Sven-Eric Bechtolf
2004
Rodney Gilfry
Isabel Rey
Michael Volle
László Polgár
Eva Liebau
Cornelia Kallisch
Bertrand de Billy
Laurent Pelly
2009
Stéphane Degout
Natalie Dessay
Laurent Naouri
Philip Ens
Beate Ritter
Marie-Nicole Lemieux
John Eliot Gardiner
Stéphane Braunschweig
2010
Phillip Addis
Karen Vourc'h
Marc Barrard
Markus Hollop
Dima Bawab
Nathalie Stutzmann
Philippe Jordan
Robert Wilson
2013
Stéphane Degout
Elena Tsallagova
Vincent Le Texier
Franz Joseph Selig
Julie Mathevet
Anne Sofie von Otter

Droits[modifier | modifier le code]

Bien qu'en principe les œuvres de Debussy soient tombées dans le domaine public partout dans le monde, Pelléas et Mélisande reste protégé, dans l'Union européenne et autres pays appliquant un délai de 70 ans post mortem, jusqu'en 2020, le livret étant de Maeterlinck (mort en 1949).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Ariane Charton, Debussy, Folio Biographies, 2012, p. 196-198 (ISBN 978-2070-43982-9).
  2. a, b et c François-René Tranchefort, L'Opéra, Éditions du Seuil,‎ 1983, 634 p. (ISBN 2-02-006574-6), p. 344
  3. Henri Busser, De Pelléas aux Indes galantes : de la flûte au tambour, Paris, Fayard, 1955, p. 113-114.
  4. « Pelléas et Mélisande » cent ans après : études et documents, sous la direction de Jean-Christophe Branger, Sylvie Douche et Denis Herlin, Lyon, Symétrie, 2013, p. 499-502 (ISBN 978-2-914373-85-2).

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